Affichage des articles dont le libellé est Bientraitrance. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Bientraitrance. Afficher tous les articles

vendredi 17 novembre 2017

il est des moments magiques qui font de notre métier un pur bonheur : ouvrir le bac de legos pour un enfant, et voir les autres s'y retrouver et construire ensemble "leur petit monde" 


mercredi 23 novembre 2016

Mercredi

Bonjour à tous,

Après la pluie... le vent !!!!

Les p'tits loups sont un peu patraques en ce moment du coup on reste au chaud pour ne pas prendre le risque de nouveaux microbes....

Nous avons eu la visite d'un nouveau copain : Mario !

Bienvenue à Mario !!!!!


POUPEE EMPATHIE : Lorsqu’on prend ces poupées dans les bras, on a l'impression de tenir un vrai bébé! Leur secret? Les fesses lestées donnent une sensation de poids et leur visage, exprime la sérénité et rassure. 4 modèles différents, anatomiquement correct avec une poche secrète pour insérer un accessoire sensoriel.

Mario, s'il est adopté par les enfants, sera leur nouveau copain pour...
consoler les chagrins, 
décharger les colères,
rassurer, apaiser...

Il va aussi falloir bien s'occuper de lui : lui apprendre la propreté, à manger....

Cassandre lui a déjà lu des histoires, petit Louis lui fait de grooooooos câlins, grand Louis essaie de lui faire faire des roulades mais malgré toute son attention Mario ne semble pas très disposé ;-)

A suivre donc : les aventures de Mario avec les p'tits loups :-)


samedi 14 février 2015

Les douces violences

Si vous souhatez en savoir plus sur les "douces violences" de notre quotidien je vous invite à venir lire l'article ICI sur le blog Famille Epanouie

Vous y trouverez également un guide à télécharger des "8 erreurs à éviter pour améliorer la relation avec votre enfant"

Les douces violences du quotidien, ce ne sont pas les fessées, les coups, la maltraitance ou tout châtiment corporel. Ce sont des actes brefs et fréquents, que l’adulte pense anodin, et qui mettent l’enfant dans une insécurité affective. Cela peut-être des paroles blessantes, des gestes maladroits, des jugements, des a priori. En aucun cas, le parent ou l’adulte ne souhaite nuire à l’enfant, et pourtant celui-ci se prend ces remarques de plein fouet, ce qui le déconnecte de l’adulte aimant et l’isole affectivement. C’est presque inconsciemment que l’adulte pratique ces douces violences. Pourquoi? Simplement du fait qu’il y a de très grandes chances qu’il ait subi ces douces violences quand il était enfant, et que cela s’est banalisé dans sa tête.

Liste non-exhaustive des douces violences du quotidien

Dans notre comportement

Parler de votre enfant à la troisième personne, alors que votre enfant est au milieu de la transmission.
Faire des transmissions essentiellement négatives.
Critiquer ouvertement un proche de la famille devant votre enfant.
Appeler votre enfant uniquement par des surnoms ne respectant pas sa véritable identité.
Juger par la dévalorisation.
Moucher votre enfant sans le prévenir.
Forcer votre enfant à faire un bisou.
Ce n’est pas toujours évident de se rendre compte que l’on pratique des douces violences. Un bon moyen est de se mettre à la place de l’enfant et se demander si nous aimerions subir ces remarques. On peut aussi se poser la question si nous ferions cela avec l’un de nos parents en mauvaise santé.

Lors des jeux et activités

Forcer votre enfant à faire une activité.
Presser votre enfant, lui mettre la pression pour qu’il se dépêche.
Commenter négativement les acquisitions de votre enfant.
Comparer vos enfants entre eux.
Ne pas laisser votre enfant emporter un jouet qui lui tient à cœur lors des sorties.
Culpabiliser  votre enfant parce qu’il refuse de faire une activité.
Le principe même des jeux et des activités est d’apprendre en prenant du plaisir. Si l’enfant n’est pas enclin à participer ou à faire une activité, respectez-le! Mettez-vous à son niveau, parlez-lui calmement et avec bienveillance afin d’entendre et comprendre ce qu’il ressent.

Lors des repas

Forcer votre enfant à manger.
Supprimer le dessert si votre enfant ne termine pas ce qu’il a dans son assiette.
Faire du chantage.
Mettre votre enfant au lit s’il ne veut pas manger.
Empêcher votre enfant de dormir parce que c’est l’heure du repas.
Empêcher votre enfant de manger tout seul parce qu’il va se salir.
Déshabiller votre enfant pour que ses vêtements restent propre.
Critiquer la nourriture devant votre enfant que l’on forcera à terminer.
Mélanger tous les aliments dans son assiette.
Laver le visage de votre enfant avec un gant d’eau froide, sans le prévenir, par derrière.
Lui attacher la serviette autour du cou en lui baissant la tête.
Racler systématiquement la bouche de votre enfant avec la petite cuillère.
Bien souvent, les deux principaux problèmes sont liés au coucher et au repas. Demandez-vous simplement pourquoi? Si votre enfant ne veut pas manger, c’est qu’il n’a pas faim ou qu’il n’aime pas. Mangez-vous quand vous n’avez pas faim? Cuisinez-vous des haricots verts alors que vous détestez ça?
Je vous vois déjà venir à plusieurs kilomètres: « oui mais les enfants préfèrent manger ce qu’ils aiment et délaissent les aliments bon pour la santé. J’ai l’exemple d’amis dont le fils est très « difficile ». A part du riz, des pâtes, des nuggets, des frites, il ne mange quasiment rien. Il a de grosses carences dans son alimentation, et les problèmes de santé qui en découlent. Mais ils ont renoncé à essayer de lui faire diversifier son alimentation, préférant la facilité de repas qui se passent dans le calme. »En fait, c’est très simple pour éviter ce genre de situation. Servez simplement à vos enfants des aliments bons pour la santé. Ils n’ont pas la capacité de comprendre qu’un fruit est meilleure pour la santé qu’un Kinder. Votre enfant ne se laissera jamais mourir de faim. Sachez que l’embonpoint n’est pas signe de bonne santé.
Chez nous, quand on veut se faire plaisir avec du chocolat, on achète du Lindt à plus de 85% de cacao ou je prépare une pâte à tartiner maison avec des noisettes, du miel, du cacao et des dattes. Arthur adore ça et peut forcer un peu sur la cuillère sans que cela soit mauvais pour sa santé.

Autour de la toilette

Parler entre adultes durant un change dans l’ignorance de votre enfant.
Faire des commentaires sur l’hygiène de votre enfant, sur son anatomie, sur ses petits maux.
Sentir les fesses de votre enfant en lui disant « tu pues ».
Ne pas parler à votre enfant durant le change.
Prendre votre enfant pour le changer sans le prévenir.
Dire à votre enfant qu’il est sale, qu’il pue.
Empêcher votre enfant d’aller aux toilettes.
Laisser longtemps votre enfant sur le pot, jusqu’à ce qu’il y ait quelque chose dedans.
Gronder votre enfant qui a fait caca, alors que vous venez juste de le changer.
Parler devant tout le monde d’un souci concernant votre enfant.
Les soins et la toilette implique le corps de l’enfant. Bien souvent sa motricité ne lui permet pas d’agir seul. Il est dépendant de l’adulte. Personne n’aime être dépendant de quelqu’un. Essayons donc de le respecter au maximum.

Lié au sommeil

Forcer votre enfant à dormir.
Laisser votre enfant hurler seul dans son lit à barreau.
Ne pas coucher votre enfant lorsqu’il a sommeil.
Réveiller rapidement votre enfant qui dort sans explicitation.
Discuter à haute voix alors que votre enfant essaie de s’endormir ou dort.
Laisser votre enfant dans son lit lorsqu’ils est bien réveillé parce que vous êtes occupés.
La gestion du sommeil est certainement le moment le plus compliqué avec de jeunes enfants. Soyons bien vigilant à ne pas se cacher derrière un pseudo besoin de sommeil de l’enfant, alors que l’on veut simplement avoir un moment de tranquillité. Si vous avez un lit à barreau à la maison, demandez-vous à quoi il sert réellement?

Celles que nous avons pratiqués

Comme promis, voici les douces violences que nous avons pratiqués, et qu’il peut encore parfois nous arriver de faire. C’est plutôt rare mais nul n’est infaillible.
– « Il est 20h, c’est l’heure de se coucher. » C’est Amélie qui l’endort au sein, donc quand Arthur n’était pas fatigué, et bien il ne dormait pas. Mais ça, nous ne nous en rendions pas compte. Je pense qu’on devait se dire qu’il faisait ça pour nous embêter et qu’il refusait de dormir tout simplement.
– « Viens voir par ici toi! Oh tu as fais caca, tu pues. » Certes, il a bien fait caca et il pue. Quand je rentre d’une sortie de course à pied et que je sens le chacal malade à 10 mètres à la ronde, j’apprécie qu’Amélie ne me le fasse pas remarquer. Pourquoi? Parce que je me sens mis à l’écart.
– « Non chéri, tu finis ton assiette avant d’aller jouer. Juste une dernière cuillère alors! » Pourquoi pas deux ou trois? Qui sait mieux que lui ce dont il a besoin. A la maison, l’approche des repas a radicalement changé depuis que j’ai lu le livre Mon enfant ne mange pas. Je vous invite vraiment à lire l’article que j’ai rédigé à ce sujet.
– « Tu es fatigué mon chéri? Oui, on va aller se coucher après manger. » Carnage assuré et aucun aliment avalé…
– « Arthur, viens, dépêche-toi, on t’attend! » Pas de petits surnoms dans ces moments-là. S’il ne vient pas, c’est qu’il a quelque chose qui l’importe bien plus. Prendre le temps de prendre le temps, cela ne prend pas plus de temps ;-)
– « Tu l’aurais vu ce matin, il a pris sa petite marche et il a réussi à ouvrir la porte tout seul. »Quand on parle de choses positives, ça passe mieux, mais mettez-vous simplement à sa place. Vous êtes au milieu de la conversation, on parle de vous mais vous êtes totalement exclus de l’échange.
Le but de cet article est de
vous nous faire réfléchir sur ces petits comportements que nous avons au quotidien, qui nous semblent anodins mais qui peuvent mettre nos enfants dans une insécurité affective. Le but n’est pas de culpabiliser mais plutôt de réfléchir à ce que nous pourrions améliorer.

Partagez avec nous, en commentant ci-dessous, et dîtes-nous laquelle de ces douces violences vous pratiquez avec vos enfants.

Mis à jour de l’article avec vos contributions:
- Rectifier ou finir un coloriage/bricolage de l’enfant
- Crier par reflex quand un enfant fait une bêtise
- Ne pas respecter les différentes étapes de sa motricité

samedi 7 février 2015

Education bienveillante : petit guide à l'usage des parents

La revue pour enfants Pomme d'Api vient de sortir un petit guide pour les parents (j'aurais envie de dire "mais pas que !") concernant l'éducation bienveillante, je vous invite à le parcourir et à le diffuser (très) largement autour de vous :

Parentalité positive, communication bienveillante… En ce moment, sur Internet et dans les rayons des librairies, ces termes ont la cote. Méthode efficace pour les uns, laxisme pour les autres… Pomme d’Api fait le point sur “l’éducation bienveillante”, une manière d’être parent que nous prônons dans nos pages, sans jamais vous l’avoir dit !

Parents bienveillants, oui, mais… maladroits aussi !

Lors d'un dîner, un des invités renverse son verre. Qui d’entre nous oserait s’emporter contre lui en disant : “T’es vraiment maladroit ! C’est pas croyable !” De la même façon, à un collègue qui vient de prendre un nouveau poste, personne ne songerait à dire : “Attends, t’as fait la mêmeerreur qu’hier, tu n’y arriveras jamais !” Or c’est souvent sur ce mode que nous nous adressons à nos enfants, alors que chez eux, tout n’est qu’apprentissage, tout n’est que premières fois.
Supplément au n°588 de Pomme d'Api, février 2015. “L'éducation bienveillante - Petit guide à l'usage de tous les parents”. Illustration : Robin
Bienveillants vis-à-vis de nos enfants, pourtant, nous le sommes tous. Bienveillants, oui, mais… maladroits aussi ! Maladroits, lorsque nous disons par exemple : “Allez, allez, arrête de pleurer, c’est fini, t’as pas mal !” Ou lorsque nous parlons de notre petit de 3 ans en disant : “Il est terrible !” ou encore lorsque nous le secouons par le bras en criant : “Dis donc, qui c’est qui commande ici ?”

6 règles d’or et 6 formulations à bannir de notre vocabulaire pour une éducation bienveillante

Les recherches les plus récentes sur le cerveau humain ont prouvé qu’une éducation empathique et respectueuse permet au cerveau de se développer de façon optimale. À l’opposé, le stress, les humiliations, les violences verbales ou physiques peuvent modifier en profondeur un cerveau en construction et entraîner des troubles cognitifs (voir en fin d'article “Pour aller plus loin”).
Heureusement, nos maladresses quotidiennes peuvent se corriger, par petites touches et avec un peu d’entraînement. Car l’éducation bienveillante est avant tout une histoire d’attitude. Et s’il y a parfois des rechutes, ce n’est pas grave ! Avec Nadège Larcher, psychologue et formatrice à “L’Atelier des parents”, Pomme d’Api a retenu 6 règles d’or… et 6 formulations à bannir de notre vocabulaire, pour s’entraîner à être des parents encore plus bienveillants.

1 - Distinguer l’enfant de ses actes. Pour ne plus dire : “Tu es infernal !”

Jean a 4 ans. Lors d’un repas de famille, il verse le contenu de la salière dans son verre. Son grand-père réagit : “Tu ne fais vraiment que des bêtises ! Quel idiot !” Jean se fait tout petit sur sa chaise. Ce qu’il entend, c’est “Je suis nul.” Or, ce qui est incriminé, ce n’est pas lui, mais ce qu’il a fait. Il faut avoir la vigilance de distinguer les deux : “Ah, tu observes le sel se dissoudre dans l’eau ? C’est intéressant, hein ! Par contre, manger trop de sel n’est pas bon pour la santé, et je t’ai expliqué qu’il faut attendre la fin du repas pour jouer. Va jeter ton eau dans l’évier.”
Détail de langage ? Les conséquences sur l’estime de soi sont cruciales. Jean se sent respecté, car l’adulte considère sa curiosité naturelle et son aptitude à réparer ce qu’il a fait. À l’inverse, en utilisant sans nuances le verbe être (“Ma fille est capricieuse, mon fils est égoïste…”), on enferme les enfants dans une fausse vision d’eux-mêmes, qu’ils vont ensuite s’ingénier à confirmer. Pour faire court, un enfant “terrible” fera tout pour le rester.

2 - Fixer les règles à l’avance. Pour ne plus dire : “Combien de fois faut-il le répéter ?”

Supplément au n°588 de Pomme d'Api, février 2015. “L'éducation bienveillante - Petit guide à l'usage de tous les parents”. Illustration : Robin
Alice et Marina ont 3 ans. Leurs parents sont invités avec elles à un apéritif. Arrivées chez leurs hôtes, les deux sœurs entament une course-poursuite autour de la table basse et escaladent les fauteuils. Leur papa se fâche très fort. Mais à bien y réfléchir, avait-il pris le temps, à l’avance, d’exprimer ce qu’il attendait de ses filles dans ce type de situation ? Elles ne pouvaient pas forcément le deviner.
Ce qui paraît évident aux adultes ne l’est pas toujours pour les petits. Et plutôt que de réagir alors que la “bêtise” a déjà été faite, il faut essayer de l’anticiper, en fixant les règles à l’avance : “Nous allons au supermarché. À l’intérieur, on marche tranquillement à côté du Caddie. Et quand vous insistez pour acheter des choses, cela me gêne.” Ou encore : “Pour te servir des jouets de ton frère, tu dois d’abord le lui demander.”
Supplément au n°588 de Pomme d'Api, février 2015. “L'éducation bienveillante - Petit guide à l'usage de tous les parents”. Texte : Anne Bideault. Illustrations : Robin
Vous avez l’impression de répéter toujours les mêmes consignes ? Normal ! Avant 6-7 ans, les enfants ne sont pas capables d’intégrer les règles définitivement.

3 - Exprimer les interdits de façon positive. Pour ne plus dire : “Ne crie pas !”

Faites le test. Au lieu de crier : “Ne cours pas !”, dites plutôt : “Marche !” Vous verrez, ça… marche ! Car dans l’injonction “Ne cours pas !”, un cerveau tout jeune entend avant tout le verbe courir : “cours !” Mieux vaut s’entraîner à dire ce que l’on a le droit de faire, plutôt que souligner ce que l’on n’a pas le droit de faire. 

4 - Reconnaître les émotions de l’enfant. Pour ne pas dire : “Ce n’est rien !”

Supplément au n°588 de Pomme d'Api, février 2015. “L'éducation bienveillante - Petit guide à l'usage de tous les parents”. Illustration : Robin
Elena a 3 ans. Depuis le retour de la garderie, elle est irritable. Et quand elle tombe dans le couloir, c’est la crise. Elle tempête, elle hurle, et tend les bras vers sa maman.
En quoi le classique : “Ce n’est pas grave, t’as pas mal !” serait-il consolateur ? Bien sûr que c’est grave, bien sûr qu’elle se sent mal ! Pourquoi nier son ressenti ? La prendre dans ses bras en constatant simplement : “Tu es tombée. Tu as mal. Tu pleures. Tu es en colère” lui prouve qu’elle est écoutée, comprise, respectée. Et… ses larmes sèchent beaucoup plus vite.
Cela vaut aussi pour nous : plutôt que d’exploser et jeter sacolère à la tête de l’enfant en hurlant : “Tu es impossible !”, parlons à la première personne, en nous contentant de constats et en rappelant les règles : “Je suis énervé de voir que tu continues de sauter sur le canapé. Le canapé est fait pour s’asseoir.”

5 - Ne pas voir d’intention là où il n’y en a pas. Pour ne plus dire : “Il me fait un caprice !”

Quand un de ses enfants se roule par terre, Gaëlle ne se demande plus s’il “fait un caprice” mais se pose d’autres questions : “Lequel de ses besoins n’est pas rempli ? Son besoin d’affection ? De repos ? Les règles n’étaient pas claires… ?”
Peu à peu, l’enfant apprendra à reconnaître et exprimer ses émotions et ses besoins. Pour les y aider, Lucie invite ses garçons à utiliser un code couleur, en choisissant des crayons : rouge, pour la mauvaise humeur, orange, pour la contrariété, vert, tout va bien. Au retour de l’école, cela lui permet de prendre la température sans grands discours.

6 - Être souple en maintenant le cadre. Pour ne plus dire : “C’est comme ça et pas autrement !”

«Quand un de mes fils ne voulait pas aller au bain, relate Lucie, avant, je disais : “Tu y vas tout de suite ou tu files dans ta chambre.” Maintenant, je dis : “Tu peux encore jouer, mais quand la grande aiguille sera sur le 3, tu vas dans le bain.» Cette alternative est acceptable pour tout le monde et elle a l’avantage de mettre l’enfant dans une position active.
Un point de vue que partage Gaëlle, mère de trois enfants. “Avant, quand j’avais dit non, je ne revenais pas dessus, pour ne pas perdre la face. Mais en fait, on ne perd rien à revenir sur quelque chose. Mes enfants savent très bien distinguer les choses sur lesquelles je ne transige pas : on donne la main pour traverser la rue, etc.” Cela vaut parfois la peine de se demanderpourquoi on impose notre volonté à nos enfants. Pull orange ou pull rouge, quelle importance, finalement ?

Pour aller plus loin

• Remerciements à Nadège Larcher, psychologue et formatrice à L'atelier des parents
• Catherine Gueguen, Pour une enfance heureuse. Repenser l’éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau, éd. Robert Laffont, 2014.
• Nathalie de Boisgrollier, Élever ses enfants sans élever la voix, éd. Albin Michel, 2014.
Supplément au n°588 de Pomme d'Api, février 2015. “L'éducation bienveillante - Petit guide à l'usage de tous les parents”. Texte : Anne Bideault. Illustrations : Robin

samedi 21 juin 2014

samedi 7 juin 2014

Une salle Snoezelen

L'idée me plait beaucoup : j'y réfléchis !

des idées de mise en place ?

Dans l'une des chambres ... afin  d'avoir un endroit calme et aménagé exprès à part de l'espace de vie...




d'autres l'ont fait avant moi et leur expérience va m'aider à avancer dans mon projet :

ce que j'aimerai réaliser  :

une chambre multi sensorielle

J'ai les tapis et les poufs manque les différentes lumières

Je me documente, ON y réfléchit mais ce qui est sur c'est que cet espace devrait voir le jour : à suivre ;-)