samedi 28 février 2015

laissons le temps au temps : prenons le temps....

Allons nous  promener… lentement, laissons nous guider par le rythme des pas de l’enfant, sans intervenir, sans essayer de lui « apprendre » quelque chose. Remarquons qu’il est fort appréciable de prendre le temps d’observer,et de re-découvrir le monde à son rythme et avec ses yeux d’enfant! 
Sur le chemin du parc, remarquons ces quelques herbes qui luttent pour survivre sur le bitume …  puis au parc laissons l’enfant libre de se rouler dans les herbes,de farfouiller dans la terre,de courir après les oiseaux,de s’arroser quand il fait chaud, de grimper sur les arbres, de ramasser des feuilles et des cailloux puis les mettre dans les poches de son pantalon. Laissons le découvrir par lui-même que l »herbe peut être douce ou piquante, que la terre a une bonne odeur, qu’elle regorge de créatures aussi intéressantes les unes que les autres, que les oiseaux sont tous différents, que les feuilles ont de jolies formes….
L’enfant découvre ainsi et avec joie des nouvelles sensations,  il fait des expériences,des découvertes, des choix…Evidemment,il ne s’agit pas non plus de le laisser seul et de le mettre en danger! 
Souvent, j’entends  » Ne monte pas sur ça tu vas tomber et te faire mal! », » ne mets pas ça dans ta poche,tu vas te tâcher », …et « touche pas la terre c’est sale! » Comment l’enfant peut interpréter cette dernière phrase alors que les  légumes que nous lui préparons poussent dans cette même terre, soit disant… »sale »? C’est ainsi que souvent l’enfant se construit, dans les incohérences  de notre société actuelle. Nous ne prenons plus le temps d’observer et de comprendre notre Terre… et nous la dégradons dans l’indifférence la plus totale, parce que finalement on ne sait même plus à quoi sert notre Terre… nourricière.
Prendre le temps, c’est aussi se poser des questions, et laisser les questions de nos enfants jaillir spontanément! 
Évitons les (sur)stimulations inutiles et/ou futiles, revenons aux sources et laissons à nos enfants la liberté de découvrir seuls, avec envie et enthousiasme, les petites choses qui donnent du sens à notre Vie .



vendredi 27 février 2015

Une semaine de beau ce n'était pas possible...
Après la journée printanière très agréable d'hier où nous avons profité (et nous avons bien fait !) au maximum de faire des activités dehors ce matin la pluie nous a gardée à l'intérieur...

Pas grave ! Installation des tapis et c'est parti pour une matinée d'éveil corporel :

course, roulades, sauts...



la chenille, le petit train, imitation des animaux...


Les enfants se sont bien amusés !

Et Gaëtan a adoré s'exercer aux roulades sur le tapis, il les fait à une vitesse impressionnante maintenant et il est super fier de lui !




mardi 24 février 2015

Une matinée comme je les aime, ce sont les enfants qui ont donné le rythme au fil de leurs envies...

Ce matin Lola voulait "voir les étoiles" nous sommes donc allés dans la pièce snoezelen où tous les copains nous ont rejoint : musique douce, lumières tamisées, ambiance zen pour un moment tout en douceur...














Puis Yaël voulait jouer aux balles : 




Puis atelier d'art plastique :






Un peu de "poudre de lune" : 

Pendant que certains peignaient d'autre jouaient avec le carton qui s'est transformé en cabane, lit, voiture, bâteau...






J'aime nos matinées ou chacun(e) choisi ce qu'il veut faire et va où il le souhaite, pendant que Louisa était affairée à la peinture, Heïdi faisait des puzzles sur son tapis, Lola jouait à cache cache avec Justine et Yaël s'exerçait à marcher avec le chariot puis Louisa a laissé sa place à Lola...
Tout ça dans le calme chacun son rythme et ses envies et tout le monde heureux de sa matinée lorsque l'heure du repas arrive.



lundi 23 février 2015

Rencontre avec un nouveau copain...

Ce week end est arrivé un nouveau copain :


mais... c'est qui ?????

ah ! ah ! suspens...

Je laisse les enfants le découvrir en priorité 

Alors... à bientôt pour faire sa connaissance ;-)

L'éventail des émotions

Ce matin nous allons fabriquer des éventails à émotions, sur le Blog Hop'Toys vous trouverez le fichier à imprimer et ses indications 


Une activité qui va permettre à chacun de pouvoir mettre une image et des mots sur ses émotions du moment et ainsi aider à en parler.

samedi 21 février 2015

La pédagogie Montessori c'est quoi ?

Voilà une question qui m'est régulièrement posée  et que peut être d'autres personnes se  posent.

Lorsque j'ai vu cet article sur ce blog ICI 
je me suis dit que la réponse était là et que je me devais de la partager avec vous;
Bonne lecture ;-)

« La pédagogie Montessori, c’est quoi ?
Favoriser la confiance en soi, l’autonomie, tout en permettant à l’enfant d’évoluer à son propre rythme et en toute liberté. Telles sont les promesses de la pédagogie Montessori, que certains jugent trop débonnaire et permissive.
En savoir plus sur Maria Montessori.
« L’enfant n’est pas un vase que l’on remplit, mais une source que l’on laisse jaillir. » Telle est la philosophie de l’éducation de Maria Montessori, première femme médecin d’Italie, dévouée à la cause des enfants. « Éduquer, ce n’est pas dresser » prône celle qui, en janvier 1907 ouvre la première Maison des enfants (Casa dei Bambini en italien). Sa révolution ? Mettre à la disposition des écoliers un matériel adapté, mais surtout, les laisser libres de choisir eux-mêmes les activités qu’ils souhaitent faire, pendant le temps qu’ils le désirent. Elle constate alors, avec surprise, que les tout-petits (dès trois ans), sont capables de faire preuve d’une concentration et d’une autodiscipline inattendues. C’est ainsi que nait la pédagogie Montessori : dès lors que l’enfant se trouve dans un environnement propice, accompagné par un éducateur qui s’adapte à lui et le stimule, l’enfant apprend par lui-même, à son rythme. Un siècle plus tard, cette méthode a fait de nombreux adeptes à travers le monde et plus de 20 000 écoles ont ouvert leurs portes. Mais pour les montessoriens, la France et ses quelques cent écoles reste à la traîne. À ce jour, l’Education nationale refuse de valider une telle pédagogie, contraignant les établissements Montessori à se développer en marge du système public.

Les principes de la pédagogie Montessori

La liberté
C’est une notion fondamentale de la pédagogie Montessori. En classe, les enfants sont libres de choisir l’activité qu’ils souhaitent faire parmi celles qui leur sont proposées, à la seule condition d’avoir déjà « vu » cette activité avec l’éducateur(trice), et peuvent y passer le temps qu’ils veulent. Ils ont aussi le droit de parler (à voix basse) et de se déplacer comme ils l’entendent dans la classe, tant que l’ambiance de travail est respectée.

L’autodiscipline
Elle va de pair avec la notion de liberté et s’applique tout autant pour l’attitude que pour les corrections. Plutôt que d’attendre passivement les corrections d’un tiers, l’enfant est invité à repérer lui-même ses erreurs. D’autant que, selon la méthode Montessori, il ne s’agit pas tant d’avoir « juste » ou « faux » que de s’exercer à faire mieux, de se perfectionner dans l’activité.

L’action en périphérie
Selon Maria Montessori, il est plus profitable d’agir sur son environnement plutôt que sur l’enfant lui-même. En pratique, il s’agit par exemple de parler moins fort pour l’inciter à en faire autant, plutôt que de lui ordonner de le faire. Ou encore, de mettre à sa portée un meuble à chaussures et à chaussons, plutôt que de lui demander d’aller les ranger ou les chercher dans un placard.

Le respect du rythme de chacun
Peu importe que l’enfant soit rapide ou lent, tant qu’il est concentré. La pédagogie Montessori met l’accent sur le respect du rythme de chaque enfant, et préconise de ne pas mettre d’étiquettes aux enfants (« tu es lent », « tu es rapide »), au risque de l’enfermer dans ce qualificatif. Et Maria Montessori d’ajouter que le rythme de chacun peut varier en fonction des moments de la journée, de l’activité, des différentes périodes de son développement, et que les apprentissages des enfants se font par à-coups.

L’apprentissage par l’expérience
L’abstraction ne se transmet pas. Tel est le postulat à partir duquel se base la réflexion montessorienne. Pour s’approprier les concepts, l’enfant doit manipuler, de façon tangible et concrète, avec ses cinq sens. Là encore, cela passe par l’utilisation de matériel adapté. Il s’agit par exemple, pour expérimenter l’unité, la dizaine, la centaine etc. d’utiliser des perles. Les enfants peuvent les soupeser, les comparer, et intégrer, par la vue et le toucher, leurs différences ou leurs proportionnalités.

L’activité individuelle
Si quelques activités sont présentées en petits groupes, la plupart se font plutôt en individuel, afin que les enfants s’approprient les concepts de façon personnelle.

L’éducation, une aide à la vie
Selon Maria Montessori, l’enfant est potentiellement bon, et il suffit de le respecter pour qu’il le reste. Le respecter, c’est l’inviter à respecter les autres, et donc, le préparer à une vie sociale harmonieuse. Le but de l’éducation montessorienne est d’aider l’enfant à acquérir une discipline intérieure.


mardi 17 février 2015

Nous qui pensions hier en avoir fini avec la pluie et bien non ! 
Ce matin elle s'est à nouveau invitée...

Installation des tapis et du matériel de motricité pour s'amuser et profiter de notre matinée dans la joie et la bonne humeur :

équilibre sur le gros ballon :

Jeux de miroirs : 

Parcours d'équilibre : 

Expériences avec les miroirs : 

Equilibre sur les petits ballons : 

ça se compliquer avec équilibre avec un ballon sous chaque pied : 

Tous ensemble pour le petit train : 

Gros calins : 

Jeux avec les quilles : 

Je sais pas pourquoi mais tout le monde s'est endormi très vite et il règne un calme cet après midi...

samedi 14 février 2015

Les douces violences

Si vous souhatez en savoir plus sur les "douces violences" de notre quotidien je vous invite à venir lire l'article ICI sur le blog Famille Epanouie

Vous y trouverez également un guide à télécharger des "8 erreurs à éviter pour améliorer la relation avec votre enfant"

Les douces violences du quotidien, ce ne sont pas les fessées, les coups, la maltraitance ou tout châtiment corporel. Ce sont des actes brefs et fréquents, que l’adulte pense anodin, et qui mettent l’enfant dans une insécurité affective. Cela peut-être des paroles blessantes, des gestes maladroits, des jugements, des a priori. En aucun cas, le parent ou l’adulte ne souhaite nuire à l’enfant, et pourtant celui-ci se prend ces remarques de plein fouet, ce qui le déconnecte de l’adulte aimant et l’isole affectivement. C’est presque inconsciemment que l’adulte pratique ces douces violences. Pourquoi? Simplement du fait qu’il y a de très grandes chances qu’il ait subi ces douces violences quand il était enfant, et que cela s’est banalisé dans sa tête.

Liste non-exhaustive des douces violences du quotidien

Dans notre comportement

Parler de votre enfant à la troisième personne, alors que votre enfant est au milieu de la transmission.
Faire des transmissions essentiellement négatives.
Critiquer ouvertement un proche de la famille devant votre enfant.
Appeler votre enfant uniquement par des surnoms ne respectant pas sa véritable identité.
Juger par la dévalorisation.
Moucher votre enfant sans le prévenir.
Forcer votre enfant à faire un bisou.
Ce n’est pas toujours évident de se rendre compte que l’on pratique des douces violences. Un bon moyen est de se mettre à la place de l’enfant et se demander si nous aimerions subir ces remarques. On peut aussi se poser la question si nous ferions cela avec l’un de nos parents en mauvaise santé.

Lors des jeux et activités

Forcer votre enfant à faire une activité.
Presser votre enfant, lui mettre la pression pour qu’il se dépêche.
Commenter négativement les acquisitions de votre enfant.
Comparer vos enfants entre eux.
Ne pas laisser votre enfant emporter un jouet qui lui tient à cœur lors des sorties.
Culpabiliser  votre enfant parce qu’il refuse de faire une activité.
Le principe même des jeux et des activités est d’apprendre en prenant du plaisir. Si l’enfant n’est pas enclin à participer ou à faire une activité, respectez-le! Mettez-vous à son niveau, parlez-lui calmement et avec bienveillance afin d’entendre et comprendre ce qu’il ressent.

Lors des repas

Forcer votre enfant à manger.
Supprimer le dessert si votre enfant ne termine pas ce qu’il a dans son assiette.
Faire du chantage.
Mettre votre enfant au lit s’il ne veut pas manger.
Empêcher votre enfant de dormir parce que c’est l’heure du repas.
Empêcher votre enfant de manger tout seul parce qu’il va se salir.
Déshabiller votre enfant pour que ses vêtements restent propre.
Critiquer la nourriture devant votre enfant que l’on forcera à terminer.
Mélanger tous les aliments dans son assiette.
Laver le visage de votre enfant avec un gant d’eau froide, sans le prévenir, par derrière.
Lui attacher la serviette autour du cou en lui baissant la tête.
Racler systématiquement la bouche de votre enfant avec la petite cuillère.
Bien souvent, les deux principaux problèmes sont liés au coucher et au repas. Demandez-vous simplement pourquoi? Si votre enfant ne veut pas manger, c’est qu’il n’a pas faim ou qu’il n’aime pas. Mangez-vous quand vous n’avez pas faim? Cuisinez-vous des haricots verts alors que vous détestez ça?
Je vous vois déjà venir à plusieurs kilomètres: « oui mais les enfants préfèrent manger ce qu’ils aiment et délaissent les aliments bon pour la santé. J’ai l’exemple d’amis dont le fils est très « difficile ». A part du riz, des pâtes, des nuggets, des frites, il ne mange quasiment rien. Il a de grosses carences dans son alimentation, et les problèmes de santé qui en découlent. Mais ils ont renoncé à essayer de lui faire diversifier son alimentation, préférant la facilité de repas qui se passent dans le calme. »En fait, c’est très simple pour éviter ce genre de situation. Servez simplement à vos enfants des aliments bons pour la santé. Ils n’ont pas la capacité de comprendre qu’un fruit est meilleure pour la santé qu’un Kinder. Votre enfant ne se laissera jamais mourir de faim. Sachez que l’embonpoint n’est pas signe de bonne santé.
Chez nous, quand on veut se faire plaisir avec du chocolat, on achète du Lindt à plus de 85% de cacao ou je prépare une pâte à tartiner maison avec des noisettes, du miel, du cacao et des dattes. Arthur adore ça et peut forcer un peu sur la cuillère sans que cela soit mauvais pour sa santé.

Autour de la toilette

Parler entre adultes durant un change dans l’ignorance de votre enfant.
Faire des commentaires sur l’hygiène de votre enfant, sur son anatomie, sur ses petits maux.
Sentir les fesses de votre enfant en lui disant « tu pues ».
Ne pas parler à votre enfant durant le change.
Prendre votre enfant pour le changer sans le prévenir.
Dire à votre enfant qu’il est sale, qu’il pue.
Empêcher votre enfant d’aller aux toilettes.
Laisser longtemps votre enfant sur le pot, jusqu’à ce qu’il y ait quelque chose dedans.
Gronder votre enfant qui a fait caca, alors que vous venez juste de le changer.
Parler devant tout le monde d’un souci concernant votre enfant.
Les soins et la toilette implique le corps de l’enfant. Bien souvent sa motricité ne lui permet pas d’agir seul. Il est dépendant de l’adulte. Personne n’aime être dépendant de quelqu’un. Essayons donc de le respecter au maximum.

Lié au sommeil

Forcer votre enfant à dormir.
Laisser votre enfant hurler seul dans son lit à barreau.
Ne pas coucher votre enfant lorsqu’il a sommeil.
Réveiller rapidement votre enfant qui dort sans explicitation.
Discuter à haute voix alors que votre enfant essaie de s’endormir ou dort.
Laisser votre enfant dans son lit lorsqu’ils est bien réveillé parce que vous êtes occupés.
La gestion du sommeil est certainement le moment le plus compliqué avec de jeunes enfants. Soyons bien vigilant à ne pas se cacher derrière un pseudo besoin de sommeil de l’enfant, alors que l’on veut simplement avoir un moment de tranquillité. Si vous avez un lit à barreau à la maison, demandez-vous à quoi il sert réellement?

Celles que nous avons pratiqués

Comme promis, voici les douces violences que nous avons pratiqués, et qu’il peut encore parfois nous arriver de faire. C’est plutôt rare mais nul n’est infaillible.
– « Il est 20h, c’est l’heure de se coucher. » C’est Amélie qui l’endort au sein, donc quand Arthur n’était pas fatigué, et bien il ne dormait pas. Mais ça, nous ne nous en rendions pas compte. Je pense qu’on devait se dire qu’il faisait ça pour nous embêter et qu’il refusait de dormir tout simplement.
– « Viens voir par ici toi! Oh tu as fais caca, tu pues. » Certes, il a bien fait caca et il pue. Quand je rentre d’une sortie de course à pied et que je sens le chacal malade à 10 mètres à la ronde, j’apprécie qu’Amélie ne me le fasse pas remarquer. Pourquoi? Parce que je me sens mis à l’écart.
– « Non chéri, tu finis ton assiette avant d’aller jouer. Juste une dernière cuillère alors! » Pourquoi pas deux ou trois? Qui sait mieux que lui ce dont il a besoin. A la maison, l’approche des repas a radicalement changé depuis que j’ai lu le livre Mon enfant ne mange pas. Je vous invite vraiment à lire l’article que j’ai rédigé à ce sujet.
– « Tu es fatigué mon chéri? Oui, on va aller se coucher après manger. » Carnage assuré et aucun aliment avalé…
– « Arthur, viens, dépêche-toi, on t’attend! » Pas de petits surnoms dans ces moments-là. S’il ne vient pas, c’est qu’il a quelque chose qui l’importe bien plus. Prendre le temps de prendre le temps, cela ne prend pas plus de temps ;-)
– « Tu l’aurais vu ce matin, il a pris sa petite marche et il a réussi à ouvrir la porte tout seul. »Quand on parle de choses positives, ça passe mieux, mais mettez-vous simplement à sa place. Vous êtes au milieu de la conversation, on parle de vous mais vous êtes totalement exclus de l’échange.
Le but de cet article est de
vous nous faire réfléchir sur ces petits comportements que nous avons au quotidien, qui nous semblent anodins mais qui peuvent mettre nos enfants dans une insécurité affective. Le but n’est pas de culpabiliser mais plutôt de réfléchir à ce que nous pourrions améliorer.

Partagez avec nous, en commentant ci-dessous, et dîtes-nous laquelle de ces douces violences vous pratiquez avec vos enfants.

Mis à jour de l’article avec vos contributions:
- Rectifier ou finir un coloriage/bricolage de l’enfant
- Crier par reflex quand un enfant fait une bêtise
- Ne pas respecter les différentes étapes de sa motricité

jeudi 12 février 2015

Ce matin lecture : même les plus petits découvrent et manipulent les livres et ils adorent !


Lohan et les animaux de la ferme :


Au Nido :




Au parc tout est exploré et sert de jeu ; ce petit bout de bois sera observé sous toutes les coutures 


Pendant ce temps "les grands" jouent et se défoulent ensemble